Segolene Royale: Je n'ai rien a dire, mais le dis quand meme, na!

Segolene Royale en vient aux mains avec des promesses de Gestapo si elle passe:

Il y a peut être un peu d'argent à gagner, mais surtout pour ces conglomérats de la finance et des médias, il y en a tellement à perdre si la gauche gagne cette élection présidentielle. » Depuis qu'elle n a plus rien a dire, la cloche sonne le glas et tape sur les médias. Becassine qui le rassemblement, hulule à la rescousse l'histoire d'une France qu'elle ne connait pas et d'une famille gauchiste qu'elle ne maitrise plus. Chercher le clivage avec la droite serait l'ultime solution d'une patronne dechue et asseche par le manque d'idees et de programme.

Allons donc sur une droite qui tient la route en traitant les amalgames a un auditoire gauchises: « Allons nous accepter qu'à travers l'un des siens cette nouvelle oligarchie prenne la tête de l'Etat républicain ? »

de proposer les combats sans victoires avec des esquives grotesques: « Nous nous battons contre une droite dure, agressive, une droite sans principes, sans vertu républicaine, une droite arrogante qui dit tout et son contraire mais ne varie pas sur l'essentiel, pour elle et pour elle seule : la défense de ses privilèges, de ses passe-droits, de ses abus, de ses réseaux et de ses clientèles, de son impunité. »

Et de sa jeune vertue, "la soldate" de dénoncer les « puissances de l'argent »,

Elle qui n'accepte pas que l'on cite Jaures, expose les paroles de de Gaulle dans un contexte tres "bravitudien" et condamne: « Pas l'argent du travail », a-t-elle expliqué mais le profit « facile », les profits « rapaces », les profits « fainéants ».

Enfin dans un rale Zolatitude elle accuse la droite de « réécrire l'histoire de France en la vidant de ses valeurs et de ses luttes », allusion aux discours de Nicolas Sarkozy, elle fait de la droite d'aujourd'hui l'héritière de celle qui fit le procès de Léon Blum en 1942.

Je vous le dis, Royale est un poete, pardons... une poete !