Royale - Bayrou: apres les insultes, la parade feminine
Sego aura tout revolutionne meme la drague feminine
Depuis le soir du premier tour de la présidentielle, Ségolène Royal tente de séduire les 6,6 millions d'électeurs qui ont voté pour François Bayrou, véritables arbitres du 2e tour. Mais jusqu'au scrutin de dimanche, ils avaient dit pis que pendre du candidat centriste et de son projet de briser le clivage droite/gauche. Voici un florilège des attaques lancées par la nana.
Ségolène Royal :
- «Il est assis entre deux chaises. Je ne sais pas si vous avez essayé de rester assis entre deux chaises, ce n'est pas très confortable.» (20 avril)
- «Son "ni droite, ni gauche" masque l'immobilisme le plus absolu, le refus de dire clairement quelles sont les solutions qui seront apportées aux problèmes qui se posent au pays.» (27 mars)
- «C'est une forme d'imposture.» (14 mars)
- «Il cherche à brouiller les cartes.» (1er mars)
- «La politique n'a rien à gagner dans le ramollissement des identités politiques.» (26 février)