Royale: des propositions bien normande

ptet ben que oui, ptet ben que non! Voila le resume d'un programme qui se veut socialiste. Dernier exemple en date, les 35 heures.

En effet, interrogée sur ce qu'elle ferait des 35 heures si elle était élue à la présidence en mai, elle a repondu sur le ton de decideur: elle s'"interdit rien dans ce domaine" et laisse entendre qu'elle pourrait "réajuster" le tir pour "gommer" les "effets négatifs" des lois Aubry.

"On verra. Je ne m'interdis rien dans ce domaine", indique-t-elle dans un entretien à "La Voix du Nord" paraissant vendredi. "Je veux que le socialisme soit le socialisme du réel: nous devons regarder les choses en face. Ce n'est pas se désavouer que de réajuster certaines réformes pour gommer leurs effets négatifs".

On se souvient de la vision de l'Europe: "je m'en remets a la decision des Francais".

On terminera sur ses pensees sur l'Iran (ouarffff!), la Turquie en Europe (re-ouarffff), des armees (envie de pleurer), de la reforme des retraites (la cata)....

J'ai envie de rester a Singap moi!

Comments

[nicolas]

en cause l’ignorance injustifiable et inexcusable» de Ségolène Royal en matière de lutte contre les violences conjugales. Source liberation
La candidate socialiste à la présidentielle avait réaffirmé vendredi à Roubaix (Nord) que la «première loi» qu’elle ferait voter une fois élue serait consacrée aux violences faites aux femmes. Elle avait ajouté que le coeur du dispositif serait «le droit pour les femmes battues de rester au domicile familial avec les enfants», le conjoint violent devant «quitter le domicile».

La réplique de l’UMP n’a pas tardé. Ainsi, Valérie Pécresse a rappelé lundi à l’AFP qu’ «au moment de la loi (sur le) divorce, nous avons voté en 2003 un dispositif qui permet l’éloignement du conjoint violent du domicile lorsqu’une femme est battue. Et nous avons voté le pendant en 2006 pour les concubins violents». Avant d’enfoncer la candidate. «Mme Royal ignore que ce dispositif d’éloignement des conjoints et concubins violents a été mis dans la loi par les gouvernements Raffarin et Villepin». Mais qu’«elle ne le sache pas est logique, puisqu’elle n’était pas dans l’hémicycle le jour où ces lois ont été votées».